Julia Schmale

Professeure assistante au Laboratoire de recherches en environnements extrêmes, EPFL Valais-Wallis

Environnement

 

"Mon groupe fait des recherches sur les microparticules dans l'air. Elles sont si petites qu'elles sont en fait invisibles pour nos yeux, mais elles ont un impact important sur le climat et la santé humaine.

La particularité de mon laboratoire, c'est que nous nous concentrons sur les environnements extrêmes. Nous nous rendons par exemple dans les régions polaires comme l'Arctique ou l'Antarctique pour étudier ces minuscules particules et leur influence sur l'environnement et le climat.''

Julia

 

Sa bio scientifique

Julia Schmale a étudié l'ingénierie environnementale à l'Université de Leoben, puis a rejoint l'Institut Max Planck de chimie pour son doctorat qu'elle a obtenu en 2011. Dans le cadre de sa thèse, elle a travaillé sur la spectrométrie de masse des aérosols in situ et en ligne, en se concentrant sur les régions éloignées telles que l'Arctique, le Subantarctique, la haute troposphère et la basse stratosphère.

En 2012, elle a rejoint l'Institute for Advanced Sustainability Studies à Potsdam en tant que chercheuse postdoctorante transférant les connaissance entre les scientifiques et les décideurs politiques en matière de pollution atmosphérique et de changement climatique, du niveau local au niveau mondial. En 2014, elle a commencé à travailler en tant que boursière postdoctorale au Laboratoire de chimie atmosphérique de l'Institut Paul Scherrer. Ses recherches ont porté sur les interactions aérosol-nuage, les aérosols dans les régions polaires, le carbone noir et la neige.

En 2018, elle a été nommée à la tête du Molecular Clusters and Particle Processes Group au Laboratoire de chimie atmosphérique de l'Institut Paul Scherrer, où elle a poursuivi ses recherches sur les processus des aérosols dans les environnements extrêmes.

En 2019, elle est nommée professeure assistante à l'Institut d'ingénierie de l'environnement de l'EPFL Valais-Wallis où elle dirige le Laboratoire de recherche sur les environnements extrêmes. Elle a aussi participé pendant quatre mois à la mission internationale de recherche MOSAiC en Arctique pour étudier le changement climatique.

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